lundi 8 mars 2010

la journée internationale de la femme

Il est nécessaire de donner un aperçu sur la femme marocaine, qui connaît les mêmes changements que la femme dans le monde, et surtout dans une période de transition dans le domaine des droits de l'Homme. A l’indépendance du Maroc en 1956, les femmes marocaine sont devenues de plus en plus actives en dehors de leurs foyers, le haïk est remplacé alors par la Djellaba qui est en faite un habille pour les hommes.



L’égalité homme femme a beaucoup progressé depuis que la 1ère Journée internationale de la femme fut célébrée en Europe le 8 mars 1911, mais une nouvelle base de données de démontre que des normes et des traditions sociales profondément enracinées nuisent toujours aux perspectives d’avenir qui s’offrent aux femmes à travers le monde.

Les pratiques discriminatoires envers les femmes, qui vont des mariages forcés et mutilations génitales aux restrictions appliquées en matière d’héritage et de droits de propriété, font obstacle non seulement à l’égalité homme-femme mais aussi au développement économique. Ce n’est qu’en s’attaquant aux causes mêmes de cette discrimination que le financement du développement pourra être efficace. Il ne sert à rien, par exemple, d’ouvrir de nouvelles salles de classe, si les filles en sont exclues.

Pour aider les gouvernements dans leur choix de politiques visant le développement et la croissance économique, le Centre de développement de l’OCDE vient d’établir, à partir de différentes sources, une base de données Egalité homme-femme, Institutions et Développement (GID). Celle-ci permet de comparer les données concernant le statut socio-économique des femmes dans 162 pays, de l’Afghanistan au Zimbabwe, et ainsi d’identifier les pratiques culturelles et traditionnelles discriminatoires envers les femmes, mettant ainsi en lumière le besoin de réformes institutionnelles et juridiques.

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