mercredi 30 novembre 2011
mardi 29 novembre 2011
ALIMENTS MAGIQUES ANTI-DIABÈTE
ALIMENTS MAGIQUES ANTI-DIABÈTE
1. L'ail : le meilleur ami de votre cœur
Une petite gousse d'ail émincée dans la salade, une autre ajoutée dans la poêle où cuit votre steak ou dans votre purée de pomme de terre : à petites doses, l'ail n'aura que peu d'effets sur votre haleine (surtout si vous pensez à ôter le germe qui est à l'intérieur, difficile à digérer) mais aura de grands effets sur votre santé. L'ail est en effet un grand protecteur des diabétiques (ses principaux actifs aident le foie à réguler l'excès de sucre dans le sang) mais aussi du cœur car il fluidifie le sang.
2. Les épinards : riches en antioxydants
On les cite souvent comme les champions de la richesse en fer, mais les épinards sont surtout riches en acide alpha-lipoïque, un puissant antioxydant qui influe sur le rythme auquel le sucre sanguin est brûlé.
En outre, les épinards stimulent la régénérescence des fibres nerveuses et protège yeux et cœur.
En outre, les épinards stimulent la régénérescence des fibres nerveuses et protège yeux et cœur.
3. L'avocat : anti-diabète et anti-cholestérol
On a souvent tendance à négliger l'avocat qui traîne la réputation de fruit "trop calorique". Pourtant, l'avocat possède d'exceptionnels atouts nutritionnels. Extrêmement riche en fibres solubles, cela en fait un fruit anti-diabète, anti-cholestérol et coupe-faim. Riche en tanins antioxydants, il est également un bon protecteur de votre cœur.
4. L'avoine: le meilleur petit-déjeuner
Quel meilleur moment que la rentrée pour prendre de bonnes résolutions nutritionnelles ? Prendre un vrai bon petit-déjeuner le matin, par exemple et non se contenter d'un café avalé à la hâte… Et quitte à modifier vos habitudes, pourquoi ne pas troquer vos tartines contre un bol de flocons d'avoine au lait et à la cannelle ? L'avoine est extra riche en fibres solubles (donc coupe-faim, anti-diabète et anti-cholestérol) et renferme de la trigonelline, un composant qui aide votre organisme à mieux réguler son taux de sucre.
5. Le citron: pour réduire le taux de sucre dans le sang
Saviez-vous qu'en arrosant vos salades ou vos poissons d'un filet de citron, vous réduisez l'index glycémique de vos repas. En réduisant sensiblement le taux de sucre dans le sang, le citron vous permet d'éviter fringales et prise de poids. En outre, comme c'est un excellent exhausteur de goût, il vous permet aussi d'avoir la main légère côté sauce !
Une nouvelle drogue:Strawberry Quick
Bonjour,
Une nouvelle drogue connue sous le nom de «Strawberry Quick».
dimanche 13 novembre 2011
la mort de bachar al assad
Le docteur Bachar el-Assad est le fils cadet du président Hafez el-Assad (1930-2000) et d'Anisah Makhlouf.
Bachar el-Assad a fait ses études à l'école franco-arabe al-Hurriyet de Damas. Il y apprend l'anglais et le français qu'il parle couramment. Il passe son baccalauréat en 1982, puis entame des études de médecine. Doctorat en poche, il exerce de 1988 à 1992 comme ophtalmologiste à l'hôpital militaire de Tishreen (banlieue de Damas), puis part à Londres pour se spécialiser en ophtalmologie, où il fait la connaissance de sa future femme, Asma al-Akhras, une Syrienne musulmane de confession sunnite.
Bachar el-Assad avait à l'origine une faible appétence pour la politique. Hafez el-Assad avait préparé son fils aîné, Bassel, à prendre sa succession.
Son frère Bassel el-Assad, qui devait succéder à son père Hafez el-Assad, meurt dans un accident de voiture en 1994. Hafez el-Assad fait alors appel à son fils cadet.
Bachar est contraint de revenir en Syrie où il rentre à l'académie militaire de Homs. En 1999, il devient colonel, puis effectue des missions de confiance pour le gouvernement syrien. Il s'est notamment rendu au Liban pour rendre une visite au président Émile Lahoud et, en novembre 1999, il est reçu en tête à tête par le président Jacques Chirac à l'Élysée.
Suite à son élection, le régime se libéralise timidement, ce qu'on appelle généralement le « Printemps de Damas ». Des centaines de prisonniers politiques retrouvent la liberté, des forums regroupant des intellectuels parlant de la démocratisation de la Syrie et de la fin de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963 voient le jour. Sous la pression de la vieille garde du régime dont en particulier Khaddam qui craignait l'« algérisation » de la Syrie, Assad met fin à ce mouvement libéral en déclarant qu'il y a des lignes rouges à ne pas franchir. Il fait arrêter des dizaines d'intellectuels par la suite.
Il est parfois décrit comme un président devant composer avec les membres les plus radicaux de l'administration de son père qui se placent toujours dans une optique de conflit armé avec Israël. Il a cependant réalisé quelques réformes économiques. La libéralisation économique du pays a été très limitée, l'interventionnisme de l'État reste extrêmement présent et la corruption continue à nuire à l'économie du pays. Par ailleurs, les sanctions économiques mises en place par les États-Unis compliquent la situation.
Bachar el-Assad a fait ses études à l'école franco-arabe al-Hurriyet de Damas. Il y apprend l'anglais et le français qu'il parle couramment. Il passe son baccalauréat en 1982, puis entame des études de médecine. Doctorat en poche, il exerce de 1988 à 1992 comme ophtalmologiste à l'hôpital militaire de Tishreen (banlieue de Damas), puis part à Londres pour se spécialiser en ophtalmologie, où il fait la connaissance de sa future femme, Asma al-Akhras, une Syrienne musulmane de confession sunnite.
Bachar el-Assad avait à l'origine une faible appétence pour la politique. Hafez el-Assad avait préparé son fils aîné, Bassel, à prendre sa succession.
Son frère Bassel el-Assad, qui devait succéder à son père Hafez el-Assad, meurt dans un accident de voiture en 1994. Hafez el-Assad fait alors appel à son fils cadet.
Bachar est contraint de revenir en Syrie où il rentre à l'académie militaire de Homs. En 1999, il devient colonel, puis effectue des missions de confiance pour le gouvernement syrien. Il s'est notamment rendu au Liban pour rendre une visite au président Émile Lahoud et, en novembre 1999, il est reçu en tête à tête par le président Jacques Chirac à l'Élysée.
Président de la République
Politique intérieure
]À la mort du président Hafez el-Assad, le Parlement amende la Constitution pour abaisser l'âge minimum du candidat à la présidentielle, qui passe de 40 à 34 ans. Il est promu deux jours plus tard général en chef des forces armées syriennes par le vice-président Khaddam. Le parlement le propose comme président de la République le 25 juin 2000. Il promet de mettre en œuvre des réformes économiques et politiques en Syrie, et est élu président de la République par un référendum qui s'est tenu le 10 juillet 2000, le peuple syrien voyant en lui un réformateur qui démocratiserait le pays.
Suite à son élection, le régime se libéralise timidement, ce qu'on appelle généralement le « Printemps de Damas ». Des centaines de prisonniers politiques retrouvent la liberté, des forums regroupant des intellectuels parlant de la démocratisation de la Syrie et de la fin de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963 voient le jour. Sous la pression de la vieille garde du régime dont en particulier Khaddam qui craignait l'« algérisation » de la Syrie, Assad met fin à ce mouvement libéral en déclarant qu'il y a des lignes rouges à ne pas franchir. Il fait arrêter des dizaines d'intellectuels par la suite.
Il est parfois décrit comme un président devant composer avec les membres les plus radicaux de l'administration de son père qui se placent toujours dans une optique de conflit armé avec Israël. Il a cependant réalisé quelques réformes économiques. La libéralisation économique du pays a été très limitée, l'interventionnisme de l'État reste extrêmement présent et la corruption continue à nuire à l'économie du pays. Par ailleurs, les sanctions économiques mises en place par les États-Unis compliquent la situation.
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