samedi 11 février 2012

CAN2012:Côte d'ivoire champion d'afrique

CAN2012:Côte d'ivoire champion d'afrique

Côte d'ivoire 1- 0 ZAMBIE

aprés 20ans la Côte d'ivoire nommer championne d'afrique

jeudi 26 janvier 2012

COMMENT LES MUSULMANS VOIENT LA MORT ?

De même que les Juifs et les Chrétiens, les Musulmans croient que la vie présente n'est qu'une épreuve de préparation au prochain univers d'existence. La foi basique inclut ces quelques croyances : le Jour du Jugement, la resurrection, Enfer et Paradis. Quand un musulman ou une musulmane meurt, il ou elle est lavée, habituellement par un membre de sa famille, puis enveloppé(e) dans une pièce de tissu blanc et propre (le linceul), et enterré(e) après une simple prière, de préférence le jour même. Les Musulmans considèrent cette cérémonie comme le dernier service qu'il peuvent rendre à leur proche, et comme une opportunité de se rappeler combien la vie est courte sur cette terre. Le Prophète (PBAL) enseigna que trois oeuvres pouvaient continuer à aider une personne, même après sa mort : une aumône qu'il a donnée, une connaissance qu'il a enseigné et un enfant vertueux qui prierait pour lui.

QUE SIGNIFIE 'ISLAM ?

Le mot arabe 'Islam' signifie simplement 'soumission' et dérive du mot signifiant 'paix'. Dans un contexte religieux, cela signifie la complète soumission à la volonté de Dieu. 'Mahometisme' est donc une mauvaise désignation car elle sous-entend que les Musulmans adorent Muhammad (PBAL) en plus de Dieu. 'Allah' est le mot arabe pour Dieu, qui est utilise aussi par les Chrétiens arabes.

QU'EST-CE QUE LE KA'BAH?

La Ka'bah est le lieu d'adoration par excellence que Dieu a fait construire par Abraham et Ismael (PBAE) il y a plus de quatre mille ans. Le bâtiment fut construit en pierre sur ce que beaucoup pensent être le site originel d'un sanctuaire établit par Adam lui-même. Dieu a commandé àAbraham de sommer toute l'humanité de visiter ce lieu, et quand les pèlerins vont à La Mecque aujourd'hui, on peut les entendre réciter 'A Ton service, Seigneur' en réponse à l'ordre de Dieu

L'ISLAM ET LE CHRISTIANISME ONT-ILS DES ORIGINES DIFFERENTES?

Non. Avec le Judaïsme, ils ont pour source le Prophète et Patriarche Abraham (Paix sur lui), et leurs trois prophètes sont des descendants directs de leurs fils - Muhammad est le descendant de l'aine Ismael, et Moise et Jésus descendent d'Isaac (Paix sur eux). Abraham s'établit à un endroit connu aujourd'hui comme la ville de La Mecque (Makkah) et y construisit la Ka'bah vers laquelle tous les Musulmans se tournent quand ils prient.

COMMENT DEVIENT-ON MUSULMAN(E)?

Simplement en disant ceci: “il n’y a pas de dieu à part Dieu (Allah en arabe) et Mohammad est le messager de Dieu”. Par cette déclaration, le croyant affirme sa foi en tous les autres messagers de Dieu ainsi qu’en toutes les Écritures par eux apportées.

La tension monte au Sénégal à un mois de la présidentielle

A un mois du premier tour de la présidentielle du 26 février, la tension monte au Sénégal où le Conseil constitutionnel doit dire vendredi si la candidature contestée du chef de l'Etat sortant Abdoulaye Wade est retenue, jour choisi par l'opposition pour braver une interdiction de manifester.

Signe des craintes de violences suscitées par la décision des cinq "sages" (membres) du Conseil constitutionnel, le gouvernement a interdit les manifestations politiques de jeudi, dernier jour de dépôt des candidatures, jusqu'à lundi.

Mais le Mouvement du 23 juin (M23), regroupant les partis d'opposition et la société civile qui jugent la nouvelle candidature de Wade anticonstitutionnelle, a décidé de braver cette interdiction "illégale" en appelant à manifester vendredi à Dakar.

"La Constitution nous autorise à manifester et ne peut pas être abrogée par un arrêté ministériel", celui du ministre de l'Intéroeur Ousmane Ngom qui interdit les manifestations, a déclaré Alioune Tine, porte-parole du M23 qui entend par ailleurs "attaquer" cet arrêté "devant la Cour suprême".

La France a estimé que "la liberté d'expression et de manifestation doit être partout garantie" et que "la volonté du peuple sénégalais doit être respectée".

Selon Amnesty International, "il n'y a pas de justification apparente à cette interdiction qui porte atteinte au droit de manifester pacifiquement". Il s'agit d'une "décision des plus inquiétantes", affirme l'organisation, ajoutant que "le potentiel de déstabilisation est immense".

Des déclarations du président Wade publiées jeudi par le site sénégalais d'information en ligne DakarActu risquent d'exacerber les tensions, puisqu'il y affirme qu'il peut "légalement" se présenter non seulement en 2012, mais également "une autre fois en 2019".

C'est dans ce climat d'anxiété que l'Union européenne (UE) a lancé jeudi sa mission d'observation du scrutin, composée de 90 membres, la première de cette importance au Sénégal, pays jusqu'alors considéré comme un modèle de démocratie en Afrique. "Nous devons être neutre, impartial et indépendant" concernant la décision du Conseil, a déclaré le chef de la mission, Thijs Berman.

Débat autour de la Constitution Depuis des mois, la candidature du président Wade, 85 ans, au pouvoir depuis douze ans, cristallise toutes les oppositions, non seulement de ses adversaires politiques traditionnels, mais aussi de mouvements de la société civile.

L'un d'eux, "Y'en a marre", créé il y a un an par des jeunes, dont les membres d'un groupe de rap, a renforcé la vague "anti-Wade" par sa capacité de mobilisation grâce à des initiatives originales comme "la foire aux problèmes" exposant les maux de leur pays: chômage, coupures d'électricité, coût de la vie.

Le M23 dont "Y'en a marre" est membre organise chaque mois des rassemblements pour dire "Non à la candidature de Wade", la plupart du temps contrebalancés par des rassemblements du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir).

Elu en 2000, réélu en 2007 pour cinq ans après une réforme constitutionnelle en 2001 instituant un quinquennat renouvelable une fois, M. Wade se représente pour sept ans après le rétablissement du septennat en 2008, à la suite d'une nouvelle réforme constitutionnelle.

Pour ses opposants, il se présente à un troisième mandat illégal, mais ses partisans affirment que le décompte doit se faire à partir de la première réforme constitutionnelle de 2001 instituant le quinquennat et qu'il s'agit donc d'un second mandat conforme à la Constitution.

L'ONU a appelé à un scrutin "apaisé" et les Etats-Unis ont jugé "regrettable" que M. Wade se représente au lieu de prendre sa "retraite".

Parmi les principaux candidats figurent trois ex-Premiers ministres de M. Wade devenus opposants, Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Macky Sall, ainsi qu'Ousmane Tanor Dieng, leader du Parti socialiste (PS).

Egalement en lice, la star de la chanson et homme d'affaires Youssou Ndour, lui aussi opposé à la nouvelle candidature d'Abdoulaye Wade.