samedi 8 mai 2010

un procédé pour raffermir l'amour de ton épouse

douceur et câlin


Certains maris pensent que leur devoir s'arréte au fait de dispenser la nourriture, la boisson et autres accessoires de méme nature, c'est-à-dire le côté purement matériel oubliant ainsi le côté sentimental. Le conjoint oublie de cajoler sa femme afin de gagner son amour. Il oublie de la distraire, de s'amuser et de rire avec elle malgré, l'importance de cette séduction dans la vie conjugale puisqu'elle affermit les liens entre les deux époux.


Or, ce qui frappe l'attention , c'est la délicatesse du prophéte (ص) car il portait la responsabilité de transmettre le message, vocation qui fait ployer les montagnes; d'autant plus qu'il dirigeait l'Etat musulman à médine et à la mecque aprés la conquête de celle-ci. On suppose qu'il n'avait pas assez de temp pour s'amuser avec ses femmes et les distraire mais pourtant il ne négligeait jamais le côté sentimental et indique dans la vie conjugale.


Surtout envers sa jeune femme Äisha. Il plaisantait beaucoup avec elle et la cajolait. Il faisait également la course avec elle. Parfois elle le devançait dans la compétition, parfois le prophéte (ص), gagnait la course .Il lui disait alors tendrement : << nous sommes quites.


Quelquefois, il la laissait observer les Ethiopiens qui jouaient avec des lances et des boucliers, elle prenait un grand plaisair à regarder ce spectacle. Elle rapporta  : << Par allah le prophéte  (ص)  entra chez moi alors que les Abyssins jouaient avec des lances dans la mosquée. Je les observai et le prophéte  (ص) me recouvra de son manteau alors que je suivais ce spectacle par-dessus son épaule. Il ne voulut pas partir avant que je ne me lasse de contempler la scéne.


Daignez donc réserver à la jeune fille, soucieuse de distraction, l'attention qu'elle mérite.


Comment le prophéte  (ص) pourrait_il frustrer son épouse de jouer licitement alors qu'il dis  (ص) : << tout amusement est vain excepté trois jeux: le tir à l'arc, le dressage des chevaux et la plaisanterie avec les épouses. Ces pratique relévent des bonnes choses (de la vérité)


N'est ce pas le prophéte  (ص) lui-même qui, apprenant le mariage de Jabir Ibn abdullah  (ص) , l'interrogea en ces termes : << Est-ce une vierge ou une femme déjà mariée? 


Il répondit: << Une femme déjà mariée  . Le prophéte  (ص) l'incita vivement à choisir une vierge en disant: << Allons! prends une vierge; vous pourrez ainsi jouer ensemble .



Le prophéte  (ص) laissait les jeunes filles rendre visite et jouer avec ÄISHA . On rapporte qu'elle avait comme jouet un cheval à deux ailes.actus2

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