mercredi 5 mai 2010

Pourquoi Karzaï ne peut pas choisir sa famille?

La scène était à Kandahar, en Janvier 2003. Je trouve plutôt inattendue m'adressant un groupe d'anciens pachtounes du Helmand, qui effectue une visite à l'ancienne capitale des talibans, qui avait été abandonné par ses anciens dirigeants moins d'un mois avant.

Ces aînés ont vu les Américains vont et viennent au fil des décennies précédentes, et ils étaient curieux de savoir ce que la présence de l'étranger »leur apporterait cette fois.

Ils étaient assis tranquillement et impassible, comme c'est leur façon, savamment juger nos réponses comme un colonel de l'armée américaine Forces spéciales et je répondais à leurs questions.

Après quelque temps, un monsieur en particulier ratatiné, qui avait longtemps assis en silence à l'arrière du groupe, se leva pour parler.

Avec le départ des talibans, at-il dit, les représentants des Iraniens est venu de sa région. Ils ont offert de l'argent et d'assistance; ce qui devrait lui-même et les autres leaders dans son domaine faire?

J'ai pris la question à quelque chose d'un test, mais avant que je puisse ouvrir la bouche pour répondre, le colonel s'avança pour dénoncer les Iraniens, exhortant les anciens ne rien avoir à faire avec eux.

C'est peut-être mon imagination, mais j'ai cru voir un coup d'œil savoir passer au-dessus de l'aîné face comme il s'asseyait, il n'a certainement pas l'air convaincu.

Ne voulant pas contredire publiquement mon homologue, je n'ai rien dit, mais plus tard, j'ai eu l'occasion de parler avec l'aîné et plusieurs autres qui avaient voyagé avec lui.

«Regarde, lui dis-je," si les Iraniens vous offrir de l'argent, aller de l'avant et de le prendre. Mais rappelez-vous, leur aide est susceptible de venir à un prix. Et quand ils vous demandent votre aide, rappelez-vous lorsque vos intérêts réels mentir. "

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