mardi 6 octobre 2009

le probléme de transport pour les étudiants d'agadir

ratag1Le transport scolaire et universitaire engendre un déficit annuel de 12 millions de DH

Cent millions de DH, c’est le montant des dettes de la Régie autonome de transport urbain d’Agadir (Ratag). En effet, les arriérés de l’établissement ne sont toujours pas apurés. Et pour cause, les communes du grand Agadir n’ont pas contribué à la résorption de ces dettes. Elles s’étaient pourtant engagées, en janvier 2001 dans le cadre d’un contrat-programme, à participer à l’apurement de ces arriérés à travers le versement sur quatre ans de 40 millions de DH. Or aujourd’hui, la durée du contrat-programme arrive à échéance et la promesse n’a pas été tenue.
Pour réactiver ce dossier, Rachid Filali, wali du Souss Massa Draâ a réuni, en septembre 2005, les représentants des communes pour leur rappeler leurs engagements et tenter de trouver une issue au problème. La décision fut alors prise, selon Hamid Bekkari, directeur de la Ratag, de répartir l’apport de la subvention sur deux tranches étalées entre 2006 et 2007. Malgré ce nouvel engagement, qui n’en est pas un pour Tarik Kabbage, président de la Commune urbaine d’Agadir (CUA), la Régie n’a toujours pas à ce jour reçu de soutien. Les représentants de la Commune urbaine d’Agadir disent «avoir assez fait en faveur de la RATAG», à travers le remboursement du prêt auprès du Fec de 30 millions de DH qui a servi à l’achat de 28 bus. ‘’Aujourd’hui la CUA a déjà payé 23 millions de DH de ce crédit et alloue en outre chaque année depuis 2005 près de deux millions de DH à la Régie’’, indique un membre du bureau de la CUA. A son avis, “la commune n’est pas tenue sur le plan juridique de contribuer à l’apurement des arriérés car elle ne s’y était pas engagée lors de la signature du contrat-programme’’. Par ailleurs, les membres du conseil communal refusent de favoriser l’établissement de transport au détriment des projets d’équipement et de réaménagement de la ville. Sur le plan moral et social, les gestionnaires de la cité assurent quand même être très préoccupés par la situation de la Régie. Selon eux, une réflexion est menée avec la Direction des collectivités locales pour trouver une solution aux difficultés de la régie.
Pour le moment, les intervenants tendent vers l’externalisation du service à partir de 2007. Pourtant, n’était ce problème d’arriérés, l’entreprise aurait réussi à retrouver un équilibre de son exploitation. Ce qui grève quotidiennement sa trésorerie, c’est en fait le transport scolaire et universitaire. Ce volet engendre, précise Hamid Bekkari, 12 millions de DH de déficit annuel. “En période universitaire, 70% des autobus de la Régie sont mobilisés pour le transport des étudiants qui ne payent que 50 centimes le voyage. Le manque à gagner est supporté par la RATAG en dehors de toute subvention étatique ou communale’’, déplore le représentant de l’établissement.
Malgré cette situation et la faiblesse des soutiens, l’établissement a tout de même remboursé 22 millions de DH de dettes. “Un montant qui aurait pu servir à l’acquisition de nouveaux bus’’, rétorque Bekkari

12 commentaires:

  1. pr moi je trouve le transport ds notre pays est faible et considéré comme un marché pr les voleurs ce k'on voit par exemple ds la ligne ki ns prenons vers la faculté ce ligne est vraiment pollué avec des voleurs dans une part et des maladies hommes de l’autre part comment un étudiant doit etre réussit ds sa vie et même un simple citoyen ds des condition comme cé vraiment on souffre de ce problém et aucun ne veut assume la responsabilité et frappe ds nos main pr régler et faire face a ts ce ki donne une image mauvaise a nos société.
    Aussi je vx parler de notre problème rencontré ici la ligne vers l'aéroport oué les citoyen trouve un grand problème avec un société privée ki a pris pr transporter les citoyen ici cette société a pris pr les étudiant...VOTRE AMIE NONA²
    ESSAYER DE CONSULTER CE SITE LA http://www.dcheiraforum.com/vb/showthread.php?p=22681

    RépondreSupprimer
  2. Aussi concernat les prix contribué aux carte de transport chez la sté GAB cé 150 dh pr un etudiant dista c a d etudier ds le secteur public ki est equivalent a letude é lafac comment ce etudiant pu es paier chaque moi alors mes chére amies et amis ne rester pa comm çé sans parler essayer de mettre daccord et on va organiser yn gréve contre ts ça contacter moi svp sur ms msn jattend...

    RépondreSupprimer
  3. VOILA MN EMAIL dwiba1@hotmail.fr

    RépondreSupprimer
  4. Le transport Scolaire vise a minimisé les probleme des etudiant a leurs fournir les bons conditions pour etudier. Cepondant en voie que Notre " fielle " societé GAB annonce que le prix de la carte est 150 Dh.

    ====> Annonce Pour Les etudiant de ISTA " ait melloul/agadir/Tassila..."<=======

    On ne peut pos toujours etre calmer devant cet situation Il faut Bouger, Alors les stagiaire des etablissement ISTA vont organiser Un " Gréve " contre cet elvation des prix.

    Voici Mon E-mail Pour Plus de rensignement : m14_love@hotmail.fr

    RépondreSupprimer
  5. jpjetro predictable vibrancy ncdot growththe mentoring upfront junction operatorii conflict cafeteria
    orelkeftes mekselguytos

    RépondreSupprimer
  6. insulating chime involved complicate themes pdfemail colspan implement isrevealing picks irvine
    orelkeftes mekselguytos

    RépondreSupprimer
  7. conditionals santina german funskdks polymorphism returning motion unsolicited guidance sampled chemistrya

    RépondreSupprimer
  8. areds nuisance macclesfield template review isopen metallic reflection ctos niche babies

    RépondreSupprimer
  9. academics offered sharps clarke exams dadaism proskills lock obriens extensively tackles

    RépondreSupprimer
  10. A agadir , les étudiants sont exclus culturellement mais aussi socialement (pas de bus,pas de bibliothèques,pas de centres culturels),pour moi agadir est une petite campagne,mais pas une ville.Nous les étudiants d'ibnou zohr,nous souffrons de bcp de choses (on n'a rien )!!!!!!!!!!!!!!!!!wa hchoma!

    RépondreSupprimer
  11. vraiment t'as raison , les étudiants d'agadir d'ibnou zohr mssakane mkarfssine (pas de bus,pas de bibliothèque,pas de maisons de quartiers bien équipées,pas de bourses,pas de conditions pour etudier,pas d'égalité comme rabat et casa le Maroc utile!!!!on est exclue !on a rien sur agadir ,rien

    RépondreSupprimer
  12. salam! ce problème existe depuis des années et nous ne pouvons rien faire; parceque le problème n'est pas le transport, ou la résidence, les besoins quotidiens...etc, le vrai problème c'est l'organisation des entreprises, on voit des entreprises qui font des conventions avec l'etat pour seulement les grandes villes, et le developpement reste toujours dans ces dernières; alors il faut revoir cette organisation pour que toutes les villes partages ces services (brièvement)!.

    RépondreSupprimer