vendredi 2 octobre 2009

le tourisme sexuel à agadir

le tourisme sexuel à agadir:agadir1La ville compte environ 500 000 habitants[2],[3] (Gadiris en français, Gougadir/Oultougadir en tachelhit, Gadiri/Gadiria en arabe), et l'agglomération, avec les villes voisines, Inezgane et Aït Melloul, 600 000 habitants. D'après le recensement de 2004, Agadir comptait cette année-là 346 106 habitants[1] et la population de la Préfecture d'Agadir Ida-Outanane était de 487 954 habitants[1]. C'est l'un des principaux centres urbains du Maroc, sixième agglomération du pays après Casablanca, Rabat, Fès, Marrakech et Tanger. La densité de population est assez forte. Trois langues sont pratiquées dans la ville : l'arabe, (essentiellement la darija, l'arabe dialectal marocain) ; le tachelhit (ou berbère) par les Imazighen (Berbères Chleuhs ou Iceliyen) ; et le français.


Ravagée par un tremblement de terre en 1960, la ville a été entièrement reconstruite. C'est aujourd'hui l'une des plus grandes stations balnéaires du Maroc où les touristes viennent nombreux, attirés par un climat exceptionnellement doux tout au long de l'ann


Le tourisme sexuel désigne le fait pour une personne de voyager dans le but d'avoir des relations sexuelles avec des autochtones, la plupart du temps contre rémunération financière. Ces relations peuvent être avec des prostitué(e)s ou des locaux cherchant eux-mêmes des relations sexuelles pour en obtenir un bénéfice pécunier, étant autrement sans ressources.


A Agadir, pour les tarifs, c’est à la tête du client, comme pour bon nombre de commerces. Si le touriste rougeaud ne doit pas s’étonner de payer le prix de nuit en plein jour pour le taxi, il ne s’inquiètera pas plus de débourser le double du tarif habituel pour une passe. De toute façon, ici, les meilleurs clients paient en pétrodollars, pas en euros... « Les plus chères, ce sont les filles du Mac-Do », assure Hicham, tenancier d’hôtel. Le lieu est stratégique : c’est juste en face de l’hôtel Sahara où débarquent les types du Golfe. « À partir d’une certaine heure, quand les familles sont parties, les filles commencent à débarquer dans le fast-food. Ce sont les plus jeunes, les plus belles et elles se négocient autour de 1000 dirhams la nuit », poursuit notre connaisseur.


Amin, chauffeur de car, assure que certains crachent parfois jusqu’à 4000 Dh pour quelques heures de plaisir... Vers 23h, justement, les taxis déposent les premières donzelles. Bottes à talons hauts, jeans moulants et maquillage outrageux, elles viennent juste siroter un cola à la paille en attendant le chaland... Devant la porte, le mac de ces demoiselles joue du portable pour arranger les rendez-vous galants.

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