jeudi 4 août 2011

Turquie nomme un nouveau chef militaire

Président de la Turquie a nommé quatre nouveaux généraux à mener les forces armées du pays, près d'une semaine après quatre généraux supérieurs quitté en signe de protestation contre le gouvernement.

Abdullah Gül a approuvé la nomination, jeudi, lors d'un rassemblement majeur du Conseil militaire suprême de la Turquie, qui examine annuellement les perspectives de promotion des officiers supérieurs, un porte-parole présidentiel a dit. Les personnes nommées prendront les postes après que le cabinet approuve les promotions.

L'annonce intervient presque une semaine après quatre principaux généraux quitté pour protester contre l'emprisonnement de centaines de leurs collèguturkies chargés dans un complot présumé visant à renverser le gouvernement.

Recep Tayyip Erdogan, le Premier ministre, a visité les quartiers généraux militaires jeudi matin de signer sur les décisions de promotion dans ce qui est de l'OTAN deuxième plus grande armée. La signature a suivi la conclusion de la réunion de quatre jours militaire.

Général Necdet Ozel, précédemment chef de la police militaire, a été nommé le nouveau chef d'état-major des forces armées du pays.

Le départ de choc

Le départ de choc de vendredi dernier du prédécesseur de Ozel, Isik Kosaner, et les chefs des forces terrestres, navales et aériennes, mis en année netteté des tensions entre l'armée et le parti laïc de M. Erdogan AK.

Environ un dixième des généraux de l'armée sont en garde à vue sur un complot présumé présenté à un séminaire armée en 2003, d'impliquer les plans de la bombe de mosquées et les tensions provoquent avec la Grèce, afin de susciter le chaos politique et justifier une prise de contrôle militaire.

Dix-sept généraux et amiraux actuellement en ligne pour la promotion ont été parmi ceux emprisonnés dans le cadre des poursuites "Sledgehammer" complot. Au total près de 200 agents ont été accusés de conspiration.

Le visage des suspects entre 15 et 20 ans en prison, si l'affaire a été entachée par de sérieux doutes sur l'authenticité de certains documents mettant en cause.

Les démissions des dirigeants ont permis à M. Erdogan de resserrer son contrôle sur une force militaire qui régnait autrefois dans la politique turque, mais avait freiné considérablement ses pouvoirs par Erdogan comme il poussé à travers les réformes soutenu par l'UE pour renforcer la démocratie.

Parti de M. Erdogan, qui a remporté un troisième mandat lors des élections le 12 Juin dans une victoire écrasante, a déclaré que son objectif principal est de remplacer une constitution militaire de l'époque par un autre plus démocratique.

Mais les critiques disent AK a un agenda secret islamiste, une allégation qu'il nie.
    
L'érosion de l'influence de l'armée a expédié à l'histoire de la puissance qui lui a permis de mettre en scène trois coups d'Etat depuis 1960 et plus récemment la pression un gouvernement islamiste dirigé hors du bureau en 1997.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire